Je pense que s'il y a bien un point sur lequel on est d'accord, c'est que la vie vaut la peine d’être vécue.Tant bien que mal, on se raccroche tous à cette misérable vie dont on nous a fait don.
On a beau lui trouver tous genre d'adjectifs désagréables: vie de merde, putain de vie, vie d'enfer....; on y tient, et c'est souvent quand on risque de la perdre que l'on s'en rend compte.
Personnellement, je pense qu'on a tord de tout lui mettre sur le dos, à cette misérable vie, après tout, ce n'est pas vraiment sa faute si tout va mal mais plutôt la notre; le jour ou on a perdu espoir en l’être humain, en la bonté, la sincérité, l'amour, l’innocence; c'est ce jour la que nos vies ont été bouleversées.
On a beau me dire que je ne vois que le bon chez tout le monde, ou est le mal?
Je crois qu'il y a du bon dans chacun de nous, et c'est ce que je veux voir; bien sur je ne suis pas toujours satisfait et contente du résultat mais je suis heureuse d'avoir encore de l'espoir en la race humaine.
Je suis heureuse de ne pas voir que du noir, je suis heureuse de pouvoir sourire, d'aimer, d’apprécier la beauté et la bonté et je plains ceux qui croient que perdre l'espoir leur permet de survivre, que s'attendre au mal les prévient du mal, oui je plains ces gens parce qu'à craindre le mal ils le deviennent, parce que j'ai bel et bien été  blessée tant de fois mais je ne serai jamais plus heureuse que je ne le suis d'avoir cru en la vie, d'avoir cru en l’être humain parce que je préférai être blessée, trahie, poignardée dans le dos un million de fois plutôt que de me laisser envahir par le désespoir.
Le mal qu'on me cause ne me tue pas, le désespoir par contre, si.
Et comme le dit si bien Jacques Salomé "aimer, inventer, admirer, voilà ma vie ".

l'horloge de ma vie

je la fixais, on aurait dit qu'elle s'adressait à moi avec ses petits mouvements, simples, élégants, précis...
tik..tok..tik..tok..
Une alarme étourdissante raisonnait dans ma tête, la salle d'attente ne comprenait plus que trois patientes, toutes avec ce regard qui tue, un regard de peur ou de désespoir, chacune d'elle, tout comme moi, fixait cette horloge, toutes attendions avec agacement le moment ou la réceptionniste nous accompagneraient chez celui qui fera notre bonheur ou notre désespoir.
brusquement, la porte s'ouvra et une dame en ressortis avec un sourire timidement dessiné sur ses lèvres.
Le docteur alors demanda à sa secrétaire de faire entrer la suivante.Ce fut mon tour. 
Je récupérais mon sac maladroitement et me dirigea vers son bureau avec autant d'impatience que de crainte. je m'assis presque gracieusement sur la chaise qui m'était destinée puis dirigeai mon regard vers lui.
Ce dernier me posa quelques questions, regarda le dossier d'analyses que je lui avait amené puis me fit passer quelques tests avant de procéder à l'intervention. Il était calme, serein, on aurait dit qu'il avait fait cela pendant tellement longtemps qu'il ne ressentait plus rien, son coeur était mort, il ne ressentait point ce malheur qu'il rencontra avec chaque patiente qui accédait a son cabinet.
Il m’allongea sur la table des opérations, me fit installer correctement puis disparut pendant quelques minutes après avoir annoncé soudainement :"je vous laisse y réfléchir une deniers fois, appellez-moi quand vous aurez pris votre décision".
Pour moi ce n'était pas la peine de réfléchir, tout était évident, depuis le début je ne m'étais pas posé de questions, je savais à l'avance ce que je devais faire. mais lui, on dirait qu'il ne pense pas comme moi, pour lui je n'ai pas à le faire, et je suis celle qui devra décider de mon destin et ne pas laisser la réalité le faire à ma place. 
Mais à ce moment la, et sans trop y penser, je pris mon sac ouvrit la porte de la salle et m'enfui, je n'étais pas consciente de ce que je faisais, j'ai couru et couru pendant des minutes et quand je me suis arrêtée un grand sourire s’était posé sur mes lèvres en pensant que cet enfant qui était dans mon ventre était la plus belle chose qui m'était arrivé....
une alarme étourdissante raisonna dans ma tête, ou un son de klaxon peut-être, j'ouvris difficilement les yeux, et je vois au loin une femme par terre qui baigne dans son sang, je cours, je cours pour l'aider, je m'approche, et me voila allongée baignant dans mon propres sang, un homme qui pensait accourir m'aider annonça aux autres personnes terrorisés qui observaient la scène:"elle est morte, on ne peut plus rien pour elle".
et je m'evanoui dans la foule, emportant avec moi le souvenir de cette horloge et de ses mouvements, sereins et calmes... tik..tok

A celui que j'ai tant aimé sans jamais l'avoir vu,

Je suis désolée, je me dois de te le dire aujourd’hui. J'aurai tant aimé ne pas t’écrire cette lettre, j'aurai tant aimé  t'avoir à coté de moi ou en moi pour être plus précise. j'aurai aimé te sentir plus, écouter ton coeur battre, te sentir bouger, me donner des coups de pieds, ça m'est égale si ça fait mal tant que tu seras la! mais tu ne l'es plus et je suis désolée.
J'aurai aimé t'offrir la vie, j'aurai aimé te donner tout ce que j'ai de plus cher, j'aurai aimé te faire découvrir ce qu'il y'a de plus beau , te voir sourire, marcher et courir. T'entendre un jour prononcer le mot "maman" et avoir les larmes aux yeux parce que ça serait le plus beau jour de ma vie.
Je suis désolée de te priver de tout ça et encore je ne pourrai jamais le dire assez!
je ne saurais jamais quel couleur de yeux ou de cheveux tu aurais eu, je ne saurais jamais si tu aurais ressemblé plus à moi ou à ton père, si tu aurais choisi d'être musicien, acteur, ingénieur ou médecin.

Je ne saurais rien de toi et pourtant j'aimerais savoir, j'aimerais pouvoir te prendre dans mes bras, te  faire un câlin et te sentir contre moi. tenir tes petites mains et te dire à quel point je t'aime et que tu comptes plus que tout au monde pour moi.
Je suis désolée de ne pas pouvoir t'offrir la vie, mais la vie telle que je te l'aurais offerte n'est rien de la vie dont je  rêve pour toi!
j'espère que tu me pardonneras pour ça!
celle qui t'aime sans jamais t'avoir connu.

confession

allongée sur mon lit, comme chaque soir, j'essayais de comprendre la raison de mon existence, jusqu'ici inutile. Je regardais comme toujours le plafond à la recherche d'une réponse que je n'aurai sans doute jamais.
Je rêvassais ou plutôt je me forçais à rêvasser avec comme unique compagnon mon oreiller, qui fut jusqu'ici le seul ami en qui j'ai une totale confiance. Au bout de quelques minutes dans la même position, le sommeil finit par m'emporter et ma vie reprend son cour. 
En effet ces dernières années j'appris à vivre dans mes rêves, laissant la réalité à ceux qui la méritent ou qui l'envient.
Moi, je n'en voulais plus, la réalité pour moi ressemblait plus à un champ de bataille qu'à une vraie vie, ou du moins à la vie que j'éspèrais vivre. Alors, je choisis de vivre dans mes rêves, un monde que je peux contrôler, un monde ou je peux changer et un monde ou tout est possible. J'avais appris avec le temps de ne plus rien espérer de la réalité. 
J'étais une fille d'une vingtaine d'année, bourrée de défauts, avec aucune confiance en elle et qui ratait tout ce qu'elle entreprenait. Vivre dans la réalité ne faisais que me rabaisser, m'expliquer à quel point mon existence était inutile et à quel point j'étais inexistante aux yeux des autres.
Ceci dit, j'essayais toujours de me mentir et de me dire que tout cela finirait par s'arranger et que je finirai par trouver une place parmi les gens de ce monde. Je me mentais pour pouvoir survivre alors que je ne sais même pas pourquoi voudrais-je survivre.
Si vous demandiez aux autres qui je suis, ils vous diront surement que je suis quelqu'un de sociable, de sympathique, une fille plein de vie, Amoureuse de la vie sans doute, avec des défauts mais une fille qui a la joie de vivre, souriante la plupart du temps.
Oui, sans doute aux yeux des autres je suis ce genre de fille. Mais, ce n'est pas ce que je dirai de moi-même. Au fond, je suis une fille perturbée, seule, trahie par la vie. Je suis quelqu'un de sensible, rêveuse, qui n'a jamais accepté la réalité et qui ne l'acceptera sans doute jamais. Je suis quelqu'un à qui la vie n'a pas vraiment fait de cadeaux, quelqu'un qui voudrait voir le meilleur chez les autres mais qui finit par le regretter, quelqu'un à qui la vie n'a rien appris.
Si dans la vie vous me demandiez si j'ai des amis je vous répondrai :"oui, j'en ai plusieurs".
Mais je n'ai d'amis que moi-même et mon oreiller qui est témoin des nuits passées à regretter d'avoir un jour connu ce monde. Un monde d'hypocrisie, de douleur, de malfaisance, de mensonges, d'oubli, d'aveuglement, d'égoïsme...
Mais qu'est-ce qui a fait que le monde soit ainsi???
pourquoi sommes-nous tous des robots manipulés par je ne sais qui??? Pourquoi avons-nous tous des envies et des rêves dont nous ne voulons pas vraiment???
Dès notre enfance on nous apprend à diriger nos rêves dans un sens, alors que quand on en vient à l'âge adulte, on nous fait comprendre qu'on est libre de nos choix. Mais en réalité nous ne le sommes pas. Depuis l'âge de quatre ou cinq ans, on a déjà une petite idée sur la vie qu'on va mener plus tard, le métier qu'on va exercer, les gens qu'on va côtoyer. Alors ou sont mes choix la dedans???
J'envie ceux qui ont vraiment eu un choix dans la vie les gens qui ont tout lâché pour poursuivre leurs rêves, ceux dont personne n'a pu les leur arracher. J'aimerais être comme eux, tout plaquer et faire de ma vie ce que je veux mais je dois avouer que je n'ai pas ce courage. Et j'avoue aussi, que je ne sais pas ce que je veux.
Tout ce que je sais c'est que j'ai perdu ma vie à poursuivre le rêve des autres et que je me suis perdue en route!!!!!

une passion imminente

Le téléphone sonna. A l'autre bout du fil, une voix masculine qui s'empressa de faire son effet. Un frémissement léger et une montée de chaleur envahirent mon corps progressivement tout au long des deux minutes qu'eut duré l'appel.
Dix minutes plus tard, on sonna à la porte et le voila debout devant moi avec sa silhouette presque parfaite, son sourire minuscule et ses yeux brillants qui me dévoraient, aurais-je eu l'impression. Il fît un pas en avant, mi ses grandes mains autour de ma taille et me fît la bise si tendrement que j'eus l'impression de m’évanouir  dans ses bras. Il entra, s'assit et entama la discussion. Une discussion dont je ne me rappelais pas tant j'étais captivée par le mouvement de ses lèvres délicieuses qui ne demandaient qu'à être embrassées. Son récit , bien qu'il fût assez long me parût pourtant si bref tant j'étais captivée par ses moindres mouvements, ses petits sourires, ses battements de cils, son inspiration profonde puis son expiration et ses mains qui m'avaient déjà semblé si parfaites avec ses longs doigts tout aussi parfaits. Je le regardais, je l'admirais, je le dévorais des yeux. Je voulais qu'il m’appartienne.
Une fois son récit achevé, il remarqua enfin mon attention inhabituelle et peut-être avait-il compris ce que je demandais à travers mes yeux qui mentaient rarement. Il me prit alors de nouveau par la taille, posa tout doucement ses lèvres sur les miennes et m'emporta très loin dans un monde que j'eus envie ne jamais quitter.

fusion sentimentale

Je ne passerai pas des heures, ni même des minutes pour essayer de trouver une introduction adéquate à cela, je n’en ai pas la tête ni l’envie d’ailleurs. Je me contenterai d’aller droit au but de mon récit, qui ne sera pas non plus plein de promesse, ni de belles histoires comme certains essais. Le mien se contentera d’être réel, peut- être certaines ou certains se retrouveront dedans, et peut-être que d’autres finiront par se comprendre à travers mes mots.
Inutile de jouer les hypocrites dans ce que je vais écrire, je l’ai  assez  fait durant ma vie. Inutile de mentir ou encore de me cacher, Inutile de calmer la bête qui est en moi, car c’est elle qui me permet de survivre. Mais nous-sommes nous pas tous un peu bestial au fond ?
Je suis une âme fragile, je suis la peur, je suis l’angoisse. Je suis cette douleur au ventre qu’on ressent si souvent, je suis cette brise calme et douce qui te caresse le visage par un soir d’été. Je suis la rage, je suis les larmes, je suis ce cœur blessé que tu n’as pas su guérir. Je suis un fantôme, je suis la vie.
 Durant ces dernières années, j’ai été une multitude de personnes en une seule, je ne saurai expliquer ce phénomène, la science n’en a pas encore  découvert le secret. J’ai appris et j’ai vécu plusieurs vies, j’ai ri, j’ai pleuré, j’ai crié, et j’ai même détesté, non hais, certains qui m’empêchaient d’avancer.
J’ai grandi comme vous tous, ou presque, dans une famille calme, normale, ni trop riche ni trop pauvre, j’ai joué avec des enfants de mon âge, j’ai pleuré pendant des jours pour avoir des Barbie, je me suis fait mal en apprenant a monter à bicyclettes, et je me suis même fait grondé pas mal de fois. Pourtant, aucun de nous ne demeure ce petit être innocent que les parents ont vu grandir, on  grandit tous et on change, oui on change. 
Je vous avoue ici que je ne me suis jamais faite à ce changement, je ne voyais aucun intérêt à grandir de taille, grossir, se voir pousser des choses bizarres au corps, saigner tous les mois sans tomber de sa bicyclette, et  développer des sentiments nouveaux.
J’ai du accepter en fin de compte ce changement, pour survivre, mais je ne doutais pas de l’immensité des efforts que cela impliquait, et des nombreuses défaites que j’aurais à affronter.
Il est difficile d’être un enfant, je me le disais souvent, jusqu’à l’adolescence, et là, tout en moi a changé. J’ai du faire face un monde nouveau, des gens nouveaux, mais surtout des sentiments nouveaux.
Oui, ce récit est bel et bien un récit de sentiments.


Je ne me rappelle plus du jour, ni du mois, mais je me rappelle qu’il était là bas assis, avec son grand sourire magnifique. Tout en lui semblait parfait. Tout, jusqu’aux moindres détails.
« Je l’ai vu et j’ai su que c’était lui », une belle phrase que j’ai surement volé de l’un des romans que j’ai lu, et que je n’ai pas arrêté de répéter durant quatre ans. Quatre ans de chagrin, quatre ans de larmes, quatre ans de cauchemar.
Est-ce cela l’amour que nous on apprit les romans ? Est-ce cela l’amour qu’on regarde à la télé ? Est-il forcément toujours couplé au chagrin ?
Je ne m’attarderai pas sur cette période de ma vie parce qu’à présent je la trouve bien inutile, c’est évident, l’amour n’existe pas.
Les années se suivaient et les échecs amoureux avec, chagrin après chagrin on devient habitué à avoir le cœur brisé et on finit par se rendre compte que notre cerveau ou notre cœur est un beau salop qui ne fait que nous brouiller les idées.
 Plus tard, on découvre une autre sorte d’amour, et là on comprend mieux les romans et les films. Cette passion qui nous traverse de la tête aux pieds, cette chaleur qui se généralise dans tout le corps, et cette chose bizarre qu’on sent au fond de nous et qui nous fait sourire.

Chers lecteurs, j’aurais aimé m’arrêter ici et apprécier ce moment là bien qu’il soit bref, mais j’aime conserver mon intimité si vous voyez ce que je veux dire, malheureusement la vie nous réserve aussi des sentiments que bien qu’on aimerait éviter , ils finissent par nous submerger un jour ou l’autre. Il m’est arrivé parfois durant cette vie de ressentir du mépris envers certaines personnes qui m’aurait fait du mal, ou aurait touché d’une manière ou d’une autre ma dignité, ce sentiment qui te donne envie d’attraper cette peste ou ce salop et de l’étrangler ou encore de l’attacher à une chaise et de le faire souffrir, de le gifler si fort que ta main te fera mal…
Excusez moi je crois que je me suis un peu emportée mais vous comprenez …
Il faut croire qu’il y’a des gens qui n’ont aucun respect et aucune estime pour l’autre, des gens qui n’ont d’amour que leur propre personne, des égoïstes, des hypocrites, des gens sans cœur.


Pendant qu’on vieilli on se découvre des talents nouveaux, un talent de menteur, de comédien, de perroquet et d’autres encore que certains d’entre vous perfectionnent peut-être. On  apprend alors à se créer des carapaces pour nous protéger du mal qui nous entoure, mais faites attention ces carapaces finissent par nous lâcher et là, nous nous retrouverons sans rien, sans protection. Et là, nous nous retrouverons à nu devant le monde entier. Ce jour là, nous ne survivrons  plus.

c'est malheureux ce qui se passe en Tunisie ces temps-ci, un psychopathe qui clame la connaissance, un suicide en plein jour à cause d'une injustice devenant trop pesante, et pour couronner le tout un gouvernement pourri, et une famille présidentielle qualifiée de "quasi-mafia".
Eh oui en Tunisie, on ne manque de rien: la corruption, le chômage, les psychopathes, l'oppression, la pauvreté...
Les droits de l'Homme??? on ne les connait que dans les livres (même sur internet c'est censuré je crois).
J'ai l'impression que de jours en jours, en Tunisie, nous régressons, allant vers la catastrophe.
est-ce un cauchemar ou est-ce que tout ce qu'on a bâti depuis l’indépendance, d'autres sont en train de le détruire?
Moi je décrirai la Tunisie comme étant un bordel. Oui, c'est ça un bordel. Pourtant moi qui avait cru qu'une constitution existe pour être suivie, mais est-ce vraiment le cas?
Voyons cela:
L'article 4 de la constitution clame liberté, ordre et justice comme étant la devise de la république.
mais de quelle liberté parlons nous??? celle de marcher dans la rue tranquille? oui peut-être, quoique c'est pas tout a fait vrai non plus!!!
quel ordre??? celui que fait régner la police??? si battre et abattre des gens s’appelle de l'ordre alors oui peut-être.
et enfin justice???? oui ça doit être de la justice de remplir nos prisons de prisonniers politiques.

pour ce qui en est de l'article 5 je cite
 "La République Tunisienne garantit les libertés
fondamentales et les droits de l'Homme dans leur acception 
universelle, globale, complémentaire et interdépendante.
La République Tunisienne a pour fondements les principes 
de l'Etat de droit et du pluralisme et oeuvre pour la dignité 
de l'Homme et le développement de sa personnalité."

   comme je l'ai déjà dit, en Tunisie, les droits de l'homme c'est un rêve irréalisable, pour ce qui est de la dignité on a appris a vivre sans depuis qu'on est enfant, y'en a qui se l'ont rebâtit avec le temps et y'en a qui continuent de vivre sans.
dans ce même article je cite
"La République Tunisienne garantit l’inviolabilité de la
personne humaine et la liberté de conscience, et protège le 
libre exercice des cultes, sous réserve qu’il ne trouble pas 
l’ordre public."
l'inviolabilité de la personne humaine???? c'est quoi au juste, en Tunisie ça n'existe pas ce mot "inviolabilité".
Pour le libre exercice des cultes??? vous plaisantez??? parce qu'en Tunisie, un métalleux est forcement un satanique,et un satanique, eh ben c'est un satanique, il se doit d'être emmerdé tout le temps.
Venant maintenant à l'article que je considère le plus important de tous, l'article 8 qui, je cite
"Les libertés d'opinion, d'expression, de presse, de
publication, de réunion et d'association sont garanties et
exercées dans les conditions définies par la loi."
mon cul oué, à moins que tu veuille te retrouver sans rien du jour au lendemain, ou encore qu'on t’étouffe jusqu'à ce que tu décide finalement de te suicider.
Oui c'est grave ce qui se passe en Tunisie, c'est pas pour rien que les jeunes décident du jour au lendemain de quitter ce pays, faut les comprendre, dans un pays ou "depuis le jour ou tu es né, tu es déjà un coupable en puissance" .
En Tunisie, on nous apprend à utiliser ce qu'on appelle cervelle, puis à un certain âge on nous fait comprendre que cette cervelle ne nous sert plus à rien et qu'elle bonne a jeter.
Cette constitution que le peuple tunisien devrait prendre pour source, ne fait que lui rappeler à quel point  il est misérable, opprimé et malheureux.

petite histoire

elle était là, assise souriante, ses cheveux dorés encadraient sa jolie petite tete d'ou brillaient ses yeux verts au contact du soleil.
lui, il lui tenait la main si doucement qu'on aurait dit qu'il avait peur de la lui casser. il la regardait avec tellement d'eblouissement, il l'aimait.
tout en elle le faisait rever,: ce visage angelique, ces yeux brillants, ces joues toutes roses et ces levres si delicieuses.
il voulait qu'elle lui appartienne, la serrer dans ses bras, sentir son parfum ennivrant, glisser ses doigts dans ses cheuveux semblables à des fils d'or.
elle, l'aimeit et ne souhaitait que de lui appartenir, elle se laissait guider par ses sentiments, se jetant dans ses bras et ressentant l'mour qu'il lui offrait.
ils étaient beaux à contempler. ce bonheur qui les comblait, cet amour qui les unissait était si fort que j'avais les larmes aux yeux.
lui, me ragardait les regarder alors qu'une larme chaude se versait sur ma joue toute pale. il savait qu'entre nous il n'y avaiit rien de ce qu'on regardait, il savait que malgré les efforts fournis de nos deux cotés, notre amour ne ressemblera en rien à ce qu'on venait de decouvrir. il me regardait longuement puis me prit la main et je senti ce qu'il voulait m'avouer. je savais qu'aussitot ça avait commencé, c'était deja fini.

here i come again...

Here i come again , to watch you ruin your life like you did to mine.
Here i come again to throw the pain you made me go through and give it back to you 
Life is treating me right now, and i'm not going back to that moment you left me crying in your courtyard
'Cause here i come again to live my life

I've gone through things that made me strong, and never again your love will make me weak
You know life goes on and i'm glad for that 
'Cause my life made me forget how much i loved you for all these years

I know life has never been fair with us, but we should maybe understand that love isn't all about what people think but mostly about how they feel
Now it's time for me to look ahead and try to make my way 
'Cause you're just part of a memory that is gone, from my mind... 
...from my heart

la lettre pur l'inconnu

elle s'avança dans la mer, ouvrit la bouteille et y glissa un morceau de parchemin.
Dessus elle avait noté:
"Toi à qui mon coeur appartient, je ne te cherche pas, je sais qu'un jour tu me retrouveras.
Bientôt tu apparaiteras et je saurais que c'est toi.J'aurais au moins appris quelque chose des contes de fées, 'ne cherche pas trop, ce qui t'appartien fini toujours par te retrouver'. J'ai confiance, un jour tu marcheras vers moi et je saurais en te regardant que tu es celui que j'ai toujours attendu. Tu viendras alors vers moi et tu me souriras.
En attendant ton arrivée, j'éssaiai de profiter de la vie, et à chaque fois, comme ce jour là, je t'enverrai ce petit lien qui te permettera de me trouveret pour que tu ne cesses de chercher.
Ta bien aimée."

l'envie

Tellement d'images qui me hantent et m'empêchent d'avancer
tellement de cris que je voudrais pousser pour évacuer
Tellement de larmes que mes yeux rêvent de verser 
Et tellement de paix que mon coeur cherche a gagner
Toute cette détresse mais pourtant rien de concret 
Cette envie que mon corps a besoin de lacher
Cette douleur que la vie m'a apprise à cacher
Ce fantôme de moi-meme que j'ai tant de fois vu passer
Je voudrais qu'on arrive enfin à nous surpasser 
Et à donner à nos vies tout ce que le temps a pris la peine de voler.

...

ce blog que j'ai crée devait avoir un air ironique, mais j'avoue que l'ironie c'est pas trop mon truc.
Si je n'ai pas mis de titre a cet article c'est parce que je n'en ai pas trouvé un, oui c'est aussi simple que ça, pourtant j'ai tant a dire dans cet article.
Il est vrai que parfois on se dit "tout va bien, quoiqu'il arrive j'arrive a garder le sourire, rien ne pourrai m'anéantir, ni même me destabiliser".
Cela est tres vrai, et tres possible même, jusqu'à ce que le malheur s'abatte sur les personnes qui nous sont les plus chères: une mère, un père, une grand-mere, un grand=père, une soeur, un frere, ....
Qu'est-ce qu'on est censés faire dans ce genre de situations???
oui peut-etre qu'on se dit qu'on aurait du prier un dieu dont nous ne sommes pas sures de l'existance ( respects et excuses aux croyants qui liront cela, mais je me doit de vous rappeler "liberté d'expression" ).
ou peut-etre devrions nous arreter de nous attacher aux autres de peur de nous faire du mal si ces derniers souffrent (oui je sais, c'est egoiste, mais ne sommes nous pas egoistes par nature??)
Je crains que dans ce cas on ne peut qu'affronter la situation malgré nous avec nos battements de coeurs qui ne cessent d'augmenter de seconde en seconde jusqu'à ce qu'on ait l'impression que notre coeur va se detacher et bondir de notre poitrine, avec la fièvre qui monte degré par degré jusqu'à ce qu'on cours chercher de la glace, ou encore avec cette drole de douleur au ventre qui fait qu'on ait envie d'avaler une plaque de sedatifs pour s'endormir a jamais.
C'est dans ces moments la que je decouvre ma profonde haine pour ce monde.
Une haine qui était bien enfouie dans mon coeur, et qui surgit, explose, et s'éparpille autour de moi.
Deja que je n'ai jamais été quelqu'un de gai, heureux, alors avec une haine pareille, comment vais-je survivre? ou ai-je besoin de survivre?
Il y a désormais des choses dans la vie que les scientifiques n'ont pas pu résoudre: la haine, la douleur, l'effondrement, ...
Après tout, il y a peut-etre un dieu dans ce monde, qui lui seul connait la raison de l'existence de ses termes ( ne me comprenez pas mal, je crois en dieu, je prie dieu de temps en temps et j'ai peur de dieu, je me pose juste des questions).
Alors dieu si vous etes la et que vous m'entendez, je vous en supplie, faites que ceux qu'on aime et ceux à qui on tien aillent mieux, faites qu'on ne souffre pas de trop s’inquiéter, faites qu'on connaisse le vrai bonheur, faites qu'on retrouve la foi (parce que j'avoue que parfois j'ai du mal à en avoir), et surtout bénissez nous ainsi que tous ceux qui comptent pour nous.


            

Mon dieu!!!

On est (ou ils sont) plusieurs a croire en dieu, et a le considérer comme seul et unique créateur de ce monde (pas si parfait que ça enfin de compte), mais il y'a une question que je me suis toujours posée et a laquelle j'ai toujours pas de réponse!!!
pourquoi dieu nous a-t-il crée??
un jour j'ai posé cette question à ma mère et elle m'a répondu aussi sereinement et calmement possible :" pour l'adorer"   -_-"
pendant un moment j'ai eu l'impression d’être un personnage de sims.
Bon j'avoue que dieu est puissant  ( vu qu'il a crée un jeu qu'on n'a découvert que récemment) et unique ( sinon il aurait sans doute trouver un truc plus intéressant  a faire avec ses semblables) mais j'avoue qu'il nous rend la vie un peu difficile!!
tout un monde magnifique crée et pourtant on se fait chier???
Bon a vrai dire c'est normal tout ce qui a été crée pour nous faire plaisir est interdit :)
alcool, drogues, rapports sexuels hors mariage, (pour d'autres on pourra citer le meurtre, le sadisme, le masochisme...)
bref, la vie est belle non??? Quand on regarde autour et qu'on voit tous ces moyens de plaisir a la portée sans avoir droit d'y toucher!!
il est fort ce dieu il vous a bien eu hihihi